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Cameroun – Association des journalistes sportifs : « Il faut partir sur des nouvelles basses »

Telle est la déclaration de la présidente du Comité Provisoire de Gestion(CPG) de l’Association des Journalistes Sportifs du Cameroun(Ajsc), Bertille Bikoun. C’était au cours d’un débat de presse tenu le 28 mai 2018 à Yaoundé.

Après une décennie sans rencontre, le comité provisoire de gestion pilotée par Bertille  Bikoun, a de nouveau rassemblé les hommes de micro sportif et des photographes reporters autour d’une même table. Il était question de laver le linge sale en famille et de partir sur des nouvelles basses.

L’Ajsc a longtemps vécu en rang dispersé. Certains, pour des problèmes de personnes et d’autres pour des raisons financières. Toutes ces tensions  n’ont que  plombé le Cameroun sur l’échiquier sur l’échiquier national et même international. C’est le cas de la mauvaise nouvelle venant de  l’Association Internationale des Presses Sportives(Aips). Du retour du 81ème congrès de l’AIPS à Bruxelles, la présidente du CPG a laissé entendre Afrikinfo.net qu’à ce jour, le pays de Roger Milla est plongé dans  une dette de 1.358 Dollars à payer auprès de l’Aips. Selon elle, il faut apurer ces dettes afin de commander les cartes à l’instance faîtière des journalistes sportifs.

Malgré que certaines actions ont été menées pour la noble cause, le Cameroun devra s’acquitter de cette dette. C’est ainsi que la présidente de CPG interpelle les futurs membres de l’ASJC d’être membre véritable en s’appropriant de la carte des journalistes sportifs nationales afin de rêver d’une carte internationale. La somme qui sera versé par les différents membres, permettra d’une part d’apurer la dette auprès l’Aips.

L’autre combat qui exige le Comité Provisoire de Gestion est la réorganisation des bureaux de coordination. Et, pour cela la présidente a étalé une feuille de route qui, d’une part servira de redynamiser et d’autre part, de favoriser les élections dans les différentes coordinations. Car, sauf les coordinations, le bureau national ne saurait exister.

 

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