Cameroun-Handball :l’Association Hand Solidarity veut assurer le devenir des handballeurs
Les cris lancés ont été suivis par les différents acteurs. L’assemblée générale extraordinaire a permis à certains membres de s’imprégner du statut et de l’objectif de l’Association Hand Solidarity. C’était le 28 avril à Yaoundé.
Vu que les sports mineurs au Cameroun ne sont pas subventionnés. Le handball qui semble t-il, fait partir de ce lot, est apparemment trop limiter pour faire rêver ses pratiquants.Pour ce fait, l’Association Hand Solidarity entend asseoir une stratégie dès la base pour permettre aux anciens et nouveaux joueurs de s’épanouir.« Nous avons choisi l’école du handball pour imprégner un mouvement qui va perdurer et demain quand le bon handballeur aura des fondamentaux, il pourra se vendre dans le marché international »a expliqué le président de l’Association, Jérôme Martial Wanda Nana. Il ajoute par ailleurs que « Notre souci est le bien-être des handballeurs et du handball ».
Contrairement aux aspirations des personnes tapies dans l’ombre, cette initiative est soutenue par la Fécahand. « Nous ne sommes pas là pour combattre. Au contraire, nous sommes au service de la Fédération Camerounaise de Handball », a précisé Jérôme Martial Wanda Nana.
Ladite Association est apolitique et à but non lucrative. Elle compte couvrir tout le territoire national et espère rassembler en son sein plus de trois cents membres. Le siège social est à Douala, avec pour slogan « Handballeurs et handballeuses Améliorons Notre Devenir ». Les objectifs sont multiples entre autres d’unir tous les acteurs qui se veulent apolitiques, humbles et solidaires, et qui œuvrent pour le bien être des membres, l’assistance sans faille, le développement et la promotion du Handball, sans discrimination de sexe, de race, de religion ou d’âge et promouvoir l’épanouissement individuel des membres en resserrant les liens d’amitié, de solidarité, de convivialité et de fraternité, par la création des projets et l’organisation des rencontres de Handball.
